purpura

  • Bonjour à tous,

    Merci Bill pour tes précisions; je m'étais en effet complètement "planté" sur la définition du "stess" en la matière, en assimilant ce terme à une notion exclusivement psychologique. Du coup, si le "stress" tel que l'envisageais avait été une cause possible du PTI, je ne voyais pas bien ce que je pouvais faire pour mon fils afin de lui éviter du "stress", alors qu'à leur niveau tout les gamins en subissent forcement, ne serais-ce que dans le cadre de leur vie scolaire.

    Savoir que je peux botter le cul à mon fiston s'il glande trop au lycée est déjà une bonne chose!

    Pour le reste il est clair que les chercheurs, au moins pour la majorité d'entres eux, on pour soucis de trouver des solutions aux maladies; néanmoins, par mon métier et mes relations j'ai pu constater que l'argent pouvait être dans certains cas gaspillé de manière éhontée et que certains, au sein même de la recherche médicale, ne visaient manifestement que des buts carriéristes et financiers, sans ce soucier le moins du monde de l'argent public.

    Mais cela est un autre débat...

    pour en revenir à l'hatitude à adopter en cas de crise de PTI, il semble qu'il y ait malheureusement un fossé entre ce qu'il faudrait théoriquement faire et ce qui se passe réellement.

    Je m'explique: si on fils, un dimanche matin me montre des bleus et des pétéchies et refuse d'aller à l'hopital, que dois-je faire? IL A 16 ANS et refuse désormais de croire tout ce qu'on lui raconte.
    Sa dernière expèrience de l'hopital lui a (de son point de vue) démontrés que les médecins peuvent se "planter" et qu'il existe (pardonnez l'expression mais elle reflète la réalité) des cons finis parmi les internes...Hors aller au service des urgences un dimanche relève du parcours du combattant et on ne s'occuppe en urgence de vous que si vous arrivez sous la forme d'une masse sanguignolante, sinon vous attendez.
    Dans le meilleurs des cas un interne, pouvant être gentil, mais parlant mieux l'anglais que le français car souvent d'origine étrangère va difficilement vous poser les même questions que la fois précédente, alors qu'en toute logique votre dossier complet se trouve déjà dans un service...

    Après les décisions sont sans doute prise par quelqu'un, mais avec une logique qui nous échappe...l'un nous dit qu'on sort dans quelques heures alors qu'une infirmière arrive pour nous préparer pour la nuit, une autre blouse blanche nous dit que "pas de problème, on ne met pas de voix veineuse tant que pas d'injection (le gamin suporte très mal d'avoir "quelques chose dans les veines" et 1/2 après la responsable de l'étage viens mettre en place la voie veineuse; à ce moment là la première "blouse blanche" est partie (fin de service) et la voie veineuse est mis en place pour rien (en tout cas aux yeux du gamin et de ses parents à qui personne n'a rien expliqué) Le lendemain la voie veineuse est retirée sans avoir servie!
    Aujourd'hui je comprend bien sûr que la voie est posée "au cas où", de la même manière qu'un interne a exigé que Rémy soiit emené faire son fond de l'oeuil en fauteuil roulant pour faire 200m alors même que 10 mn avant le gamin avait parcourus seul 1 km de couloirs pour aller d'un service à un autre. Les mêmes vous affirment que "le moral est primordial dans le processus de guérison" alors que, dans votre chambre, vous attendez des heures le résultat d'une numération globulaire arrivée sur le bureau de l'interne 1/2 heure après la prise de sang!

    Tout cela est assez illogique, voir débile, et lorsque comme ça a été le cas en juillet, le taux remonte tout seul très rapidement, il est vrai que devant toute ses difficultés, plus le risque de se taper les cortico pour rien (et les cortico, croyez-moi, mon fils les a "senti passer", la tentation est grande de rester tranquille à la maison, avec de la bonne nourriture, en constatant presque heure après heure, la disparition des pétéchies!!!

    Bien sûr, le "top" serait d'être à ce moment là en relation avec son médecin et une équipe médicale disponible, avec pourquoi pas une infirmière sur place avec l'équipement pour pallier à un éventuel accident hémoragique.

    Compte-tenu du coût d'une journée d'hospitalisation aux urgences il est possible que cette organisation (utopique?) ne soit pas davantage dispendieuse, mais je pense, qu'à moins de disposer de moyens extraordinaires, elle soit inaccessible au commun des mortels.

    Voilà en vrac quelques réflexions, sans que bien sûr vous ne soyez tenu de réagir car elles n'apportent peut-être rien au problème principal qui nous préoccupe.

    Cordialement,

    Serge

    Anonymous 04 nov 2005, 11:27 - Rapporteer misbruik
Deze forums zijn niet langer actief. Als je een nieuwe discussie wilt starten, ga dan naar onze nieuwe Frankrijk Forums.

purpura thrombopénique

Deze forums zijn niet langer actief. Als je een nieuwe discussie wilt starten, ga dan naar onze nieuwe Frankrijk Forums.